TÉMOIGNAGE INSPIRANT DE CHRISTOPHE, CONSULTANT CHEZ ADAM NOUR
C'est avec bonheur, émotion et fierté que je vous partage aujourd'hui l'histoire de Christophe, un consultant que j'ai accompagné avec succès en naturopathie. Son parcours est exemplaire et représente un véritable espoir pour toutes les personnes actuellement en souffrance. Christophe, je salue votre courage, rigueur, discipline. Je vous remercie pour la confiance que vous m'avez accordé et je me réjouis des progrès que vous avez obtenu ! Je n'oublie pas non plus votre femme, Victoria, qui a été d'un soutien incommensurable tout au long de cette épreuve.
Je m’appelle Christophe Ferré, 26 ans. Il y a un an, jour pour jour, je vivais mes dernières perfusions de Rocéphine. Tout commence pour moi en 2015, avec l’apparition de symptômes divers et variés : troubles de la vision, apparition de corps flottants dans les yeux, sueurs nocturnes, fatigues extrêmes inexpliquées, douleurs migrantes. À cette époque, je ne me soucie pas vraiment de ma santé et acquiesce dès qu’un médecin me dit que mes symptômes sont attribués au stress et au surmenage. Il est vrai que je travaille dur, pour réussir ma carrière professionnelle. Je viens alors d’avoir 22 ans.
La même année, je passe les fêtes de Noël et du jour de l’an à l’hôpital, en raison de troubles intestinaux là-aussi inexpliqués et de douleurs atroces. Il me faudra cette fois plusieurs semaines pour me relever de ce douloureux passage. Je ne réussi pas à m’en remettre totalement : des troubles subsistent à l’estomac et apparaissent également des troubles cardiaques. Durant plusieurs mois, je souffle d’arythmie cardiaque avec des centaines – parfois des milliers d’extrasystoles – tous les jours. Je suis contraint d’arrêter le sport. Peu à peu, mon quotidien devient de plus en plus difficile. Nous sommes alors en 2016.
Je traîne ces symptômes qui s’aggravent progressivement jusqu’à 2017. Survient alors une nouvelle morsure de tique, dans le Massif-Central. Je m’étais déjà fait mordre une dizaine de fois les années précédentes, lors de mes sorties en montagne. Ce fut celle de trop. Il se passe 48h avant que mon état ne continue de s’aggraver : apparition d’un petit érythème migrant, fièvre > 38°C, raideurs dans la nuque, fourmillements. Une semaine après, je souffre d’un syndrome méningé, avec douleurs atroces et une fièvre à 40°C. C’est le début de l’enfer pour moi. Je suis à ce moment-là obligé d’arrêter de travailler. Ma santé s’aggrave à une allure phénoménale. Étant sensibilisé à la maladie de Lyme, je vois mon ancien médecin traitant qui m’administre le traitement selon le protocole officiel en stade primaire. Il est déjà trop tard pour moi, l’infection ancienne étant réactivée par la nouvelle morsure. Les sérologies confirmeront plus tardivement une infection à la borréliose de Lyme associée à une babébiose. Un cocktail… explosif ! Puis viendra l’annonce : neuroborréliose de Lyme, stade tertiaire.
Je comprends alors que la vie va devenir un enfer. Durant les mois qui suivent, malgré des traitements antibiotiques pulsés à haute dose, ma santé s’aggrave. Une trentaine de symptômes apparaissent, d’ordre musculaire, articulaire, cardiaque et neurocognitif. Je souffre de douleurs, de troubles sévères de la vision, de vertiges, de fièvres persistantes, de paresthésies, d’apparitions cutanées, de troubles respiratoires. Les troubles neurocognitifs sont sévères : fasciculations 24/7 (tremblements musculaires), myoclonies, confusion, plus aucune mémoire courte. La liste des symptômes est bien évidemment loin d’être exhaustive… ! En 2016, je pesais près de 80 kg. Un an plus tard, je ne fais plus que 58 kg.
Durant cette période, la terreur s’installe. Ma femme et moi-même ne vivons plus que maladie. Je passe des nuits dans un bain brûlant pour essayer de trouver le sommeil. Par moments, je convulse tellement il est difficile de tenir. Je cherche, comme la plupart des malades, des témoignages de guérison. Je rencontre des médecins de tout type, aux quatre coins de la France. Mes symptômes ne régressent que très peu avec les antibiotiques, si ce n’est sur le plan des douleurs. Les perfusions de Rocéphine ne me libèrent malheureusement pas de mes troubles neurocognitifs. Mes veines ne supportent plus les piqûres, je développe également une candidose sévère liée à une antibiothérapie très prolongée. D’un naturel hyperactif et joyeux, je tombe peu à peu en dépression. Je vois le nombre de témoignages de personnes qui vivent dans les mêmes souffrances depuis très longtemps et qui n’arrivent pas à s’en sortir. Je vois également que des malades se suicident. Pour autant, appuyé par ma femme et des thérapeutes en or, je trouve chaque jour la force de me battre et de croire en la vie.
Je teste au cours de cette épreuve de nombreux traitements : les antibiotiques, les huiles essentielles, les vibrations, jusqu’au jour où je rencontre un conseiller en naturopathie qui a lui-même vécu et combattu la maladie de Lyme, Adam Nour. Alors que je m’apprête à abandonner… Les plantes que je prends à haute dose viennent peu à peu à bout de la plupart des symptômes. Je retrouve mon énergie, je n’ai plus de douleurs, mes fasciculations s’effacent peu à peu, je n’ai plus d’arythmie cardiaque. Subsistent alors certains troubles cognitifs, notamment sur la mémoire courte. La dépression s’en va également. Globalement, ma santé s’améliore et c’était déjà inespéré. Ma rencontre avec Adam Nour est une première renaissance : son parcours me montre qu'il est possible de guérir. Adam est plus que mon conseiller en naturopathie, il est un véritable coach dans les périodes de doutes. Ses recommandations sont complètes et surtout en adéquation avec nos corps. Toute la différence avec la médecine conventionnelle. Trois mois après avoir débuté avec Adam, je ne souffre plus d'arythmie cardiaque, j'ai retrouvé une vue quasiment normale (subsistent les corps flottants), je n'ai quasiment plus aucune douleur, je me sens moins fatigué et surtout moins dépressif. Mes fasciculations/tressautements musculaires ont diminué de 60% environ. Subsistent alors des troubles cognitifs, qui sont plus longs à traiter.
Durant cette période, je me rends également en Allemagne dans un centre de traitements naturels. Hydrothérapie du colon, massages lymphatiques, traitements IV. Le séjour est pénible, mais m’apporte également un confort supplémentaire.
En parallèle de mes remèdes naturels, j’ai une hygiène de vie irréprochable : sauna quasiment tous les jours (un achat qui a été obligé pour résister aux herxs), arrêt du gluten, arrêt du lactose, arrêt total de l’alcool, arrêt du sucre… Toutes sources pouvant aggraver ma situation disparaît progressivement de ma vie. Je suis convaincu que ces sacrifices, ces privations, à un âge où l’on doit croquer la vie à pleines dents, m’ont aidé à avancer.
Aujourd’hui… Je suis là, en vie, plus heureux que jamais. Il me faudrait écrire un roman pour raconter tout ce que ma femme et moi avons dû traverser pour cheminer vers la vie. J’ai connu, comme vous tous, des moments de colère, des moments de douleur atroce, des moments où je voulais en finir. L’espoir de vivre a toujours été plus fort car OUI, on peut se remettre d’un stade tertiaire de la borréliose de Lyme. OUI, on peut vivre normalement après une telle épreuve. Lorsque j’étais au plus mal, je postais sur les forums de « malades de Lyme ». Lorsque ma santé s’est améliorée, j’ai totalement déserté les forums. Vous ne voyez pas beaucoup de témoignages de guérison, car le choc est tellement important qu’il faut après plusieurs mois ou années pour « digérer » ce que l’on vient de vivre. Je connais pour ma part de nombreuses personnes en rémission totale et/ou asymptomatique de cette maladie. Il n’y a pas de traitement miracle. Une pilule ne vous libèrera pas de cet enfer. La maladie de Lyme, multi-systémique, est complexe et propre à chacun dans ses interactions avec le corps. Le combat contre cette multi infection est tout aussi complexe : il faut varier les approches et surtout, ne jamais abandonner ! N’abandonnez jamais, la vie est précieuse.
Il y a un an, je vivais mes dernières perfusions. Aujourd’hui, je viens d’atteindre le sommet du Pic Carlit dans les Pyrénées à près de 3000 m d’altitude. J’ai repris près de 10 kg ces derniers mois. Je n’ai pas la force que j’avais avant de m’effondrer, mais je sais que je la récupèrerai dans les mois à venir. Cette ascension a pour moi un sens particulier : me couper totalement de cette maladie après des années de souffrance et donner un espoir à tous les malades de Lyme. Vous pouvez y arriver, n’abandonnez jamais.
Je remercie également l’association le Droit de Guérir pour son aide précieuse lorsqu’il m’a fallu trouver un médecin à un moment où ma santé s’est effondrée. Vous faites un travail formidable, que l’on doit à tout prix soutenir. Ces prochains mois, je continuerai de nouvelles ascensions en France dans le but de sensibiliser la population sur la maladie de Lyme et surtout d’apporter un espoir à toutes les personnes en souffrance. Objectif Mont-Blanc d’ici l’été prochain ou en 2021. Merci également à tous les thérapeutes qui m’ont suivi ces dernières années, pour votre bienveillance à l’égard des malades.
Réponse publique de Christophe sur un réseau social
consacré à la borréliose de Lyme
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